LIVRE:LE TESTAMENT DE MASSOUD PAR LE GENERAL PHILIPPE MORILLON
http://www.presses-renaissance.fr/ par Vincent Portier Monsieur Le Général Philippe Morillon est actuellement le responsable de la mission d'observation de l'Union Européenne pour les élections en Afghanistan qui ont eu lieu en août 2009.Il estime en son âme et conscience que dans ces élections il y aurait près d'1,5 million de voix "potentiellement frauduleuses".De quoi remettre donc en cause l'avenir au pouvoir dans ce pays de Monsieur Hamid Karzaï et le désir de la population Afhgane de donner sa confiance à un Homme neutre du moins face à l'administration de Washington tel que Monsieur Abdullah Abdullah.
Monsieur Abdullah Abdullah,c'est un peu la goutte d'eau qui fait déborder le vase Karzaï et s'effondrer un peu plus la main mise des Etats-Unis sur la région.Les américains semblent avoir oublié la devise de la République Afghane :"Dieu est le plus grand. Il n'y a pas d'autre dieu que Dieu et Mahomet est son prophète"
Si "Hamid" signifie "Digne d'éloges",Il se trouve justement que "Abdullah" signifie littéralement "serviteur de Dieu". Un mot sur l'Auteur:
Voir le portrait du Général Philippe Morillon dans la catégorie "PORTRAIT"de ce site.(colonne de droite)
Le Livre:
Dans son livre sur le Commandant Massoud,le Général Philippe Morillon lance un cri : "Si rien ne change, et vite, les talibans reviendront." Il demande aussi que cesse l'ingérence directe des Etats-Unis dans ce pays. Ahmad Shah Massoud (2 septembre 1953 – 9 septembre 2001) (en persan : احمد شاه مسعود) était le commandant de l'Alliance du Nord afghane, du Jamiat-Islami et chef de l'Armée islamique, une armée ayant combattu contre l'occupation soviétique puis le régime des talibans de 1996 à 2001.
Troupe en formation de l'Alliance du Nord en 2001 Sa réputation de chef militaire, et notamment son surnom de Lion du Panshir, vient du fait qu'il a réussi à repousser sept attaques d'envergure des troupes soviétiques contre la vallée du Panshir. Le général Morillon, en pèlerinage au Mausolée de Massoud, dans la vallée du Panshir, se souvient de leur rencontre, de leurs échanges. Il s'engage aujourd'hui, au nom de l'amitié et de la mémoire, au nom de l'avenir d'un peuple martyr.Il rappelle enfin à ceux qui se réclament de l'héritage de Massoud qu'ils le trahissent lorsqu'ils conçoivent une économie basée sur l'opium. Et invite les politiques à mettre en place une véritable reconstruction du pays telle que Massoud la définit dans ce testament. Du même auteur : Mon credo ; Paroles de soldat." | |||||
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