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15 juillet 2010

FRANCE/GUERRE MONDIALE DE 39/45: LA PATRIE RECONNAISSANTE A SES TROUPES AFRICAINES ENGAGEES AU COMBAT POUR DEFENDRE LA NATION.

Bande son:Dunkerque le samedi 8 mai 2010 au Cénotaphe du Beffroi de St Eloi - Cérémonie du 65ème anniversaire de la fin de la deuxième guerre mondiale et de la libération de Dunkerque le 9 mai 1945 - Sonnerie aux morts et Hymne National

Préambule:

Vincent Portier Vincent Portier:Ce 14 juillet 2010 restera dans nos mémoires comme un jour fondateur de l'exigence d'égalité du devoir de notre démocratie. L'application de ce devoir de fraternité marque définitivement notre reconnaissance physique de tous les hommes de bonne volonté qui ont combattu contre la barbarie nazie et dont, beaucoup sont morts les armes à la main, pour faire respecter et triompher les valeurs de la Liberté des peuples à disposer d'eux-mêmes.

Sans faire œuvre de polémique, quelle autre marque de respect a donner pour tous nos frères de sang si ce n'est de commencer cette page en rendant un hommage appuyé au courage de ses hommes, à leur attente douloureuse mais digne de ce geste de reconnaissance principiel. Celui-ci marque le gage d'une totale reconnaissance de la France envers leur participation à la victoire. Cet hommage, nous devons également le partager, en souvenir du Commandant Henry-Jean Loustau, Président de la Fédération nationale des Anciens Combattants résidant hors de France (FACS), décédé à l’âge de 87 ans ce 14 juillet 2010. Grand Officier de la Légion d’Honneur et Grand-croix de l’Ordre National du Mérite, le Commandant Loustau, blessé à quatre reprises au combat, était titulaire de la Croix de guerre 1939-1945 avec 5 citations, de la Croix de guerre des Théâtre des opérations extérieures (TOE), avec 10 citations, de la Croix de la Valeur militaire avec 2 citations ainsi que de nombreuses autres décorations étrangères. Par ailleurs, le commandant Loustau a écrit quatre livres au sujet de ses expériences militaires : « Derniers combats d’Indochine », « Guerre en Kabylie », « Les deux bataillons » et « Flashs de guerre ».

Addendum : Les obsèques du commandant Loustau auront lieu le 16 juillet, à 15.30, à l’église de Rouffignac-Saint-Cernin de Reilhac (24). L’Union des Français de l’Etranger prévoit une messe aux Invalides en sa mémoire en septembre prochain.

REACTIONS DEPUIS DAKAR:

appel_088appel_087Trésors d'archives - exposition virtuelle "Archives du 18 juin"Site officiel du 70ème anniversaire de l'Appel du 18 juin

logo_fondationPhoto/Exposition de l'Appel du Général de Gaulle: à gauche "L'Appel du 18 juin 1940" en Arabe, à droite, "L'Appel du 18 juin 1940" en Français./Découvrez toute l'actualité du 70e anniversaire de l'Appel du 18 juin

Pensions de retraites des anciens combattants : Les tirailleurs sénégalais percevront les mêmes salaires que les anciens combattants français


Désormais le tirailleur sénégalais percevra la même pension de retraite que son collègue français. C'est la révélation faite par Nicolas Sarkozy lors d'une réception offerte aux 13 chefs d'Etat africains, dont le président Wade, venus participer au défilé du 14 juillet. Ainsi, ce sont 30 000 anciens combattants qui verront leur pension augmentée.


C'est officiel depuis, hier. Les tirailleurs auront les mêmes pensions de retraites que les anciens combattants français de la Première et Deuxième Guerre mondiale. C'est l'annonce faite par le président Nicolas Sarkozy lors d'une réception offerte aux 13 chefs d'Etat africains dont les pays célèbrent cette année leur cinquantième anniversaire des indépendances. A cette occasion, le chef de l'Etat français a voulu les réunir pour participer aujourd'hui au défilé du 14 juillet. Tous ces pays ont envoyé des contingents pour défiler sur la plus grande avenue du monde, les Champs Elysées.

La circonstance ne pouvait pas être si belle pour annoncer la ‘décristallisation’ des pensions des retraites des anciens combattants africains. Par exemple, actuellement, un ancien combattant français perçoit 600 euros (393 574, 2 francs) quand son collègue marocain ne reçoit que 80 euros (52 476, 56 francs Cfa). Un peu avant, en 2006, un Français touchait environ 460 euros (301 740, 22 francs Cfa) au moment où un Sénégalais en touchait 193 (126 599, 7 francs Cfa), un Algérien 60 (39 357, 42 francs Cfa) et un Vietnamien 38 (24 926, 366 francs Cfa).

Cette injustice, instaurée depuis une loi de 1959, entre des frères d'armes a été combattue depuis très longtemps. A plusieurs reprises, des anciens combattants africains ont attrait l'Etat français devant les juridictions françaises pour cette cristallisation instaurée par une loi de 1959. Après plusieurs hésitations, le président Jacques Chirac finira par toucher cette loi après avoir vu le film ‘Indigènes’ qui relate la participation des fils d'Afrique à la libération de la France. Non pas pour ‘décristaliser’ et aligner les pensions des tirailleurs sénégalais à celles des anciens combattants français, mais calculer leur salaire en fonction du niveau de vie dans chaque pays. C'est un pas important, mais insuffisant pour aboutir à l'égalité entre d'anciens frères d'armes.

Photo: Tirailleurs Sénégalais/1940

C'est pour cette raison, que cette cristallisation reviendra comme un boomerang à la figure de l'État français. C'est ainsi que le Conseil constitutionnel avait été saisi par une famille d'ancien combattant, Khedija et Moktar Labanne. Ces derniers avaient utilisé la nouvelle question prioritaire de constitutionnalité, une disposition instaurée par la révision constitutionnelle du juillet 2008, voulue par Nicolas Sarkozy. Ainsi la cristallisation des pensions se retrouve-t-elle sur la sellette depuis deux mois. Fin mai, le Conseil constitutionnel avait censuré les lois de cristallisation, jugeant qu'elles constituaient une rupture du principe d'égalité. Alors, la France ne pourra plus se débiner pour refuser de s'aligner sur la décision du Conseil constitutionnel.

C'est dans ce contexte que Nicolas Sarkozy a annoncé la décristallisation des pensions des anciens combattants, hier, devant 13 Chefs d'État africains. ‘Il est des dettes qui ne s'éteignent jamais. C'est le cas de celle que la France a contractée envers vos pays, où commença de briller, voici 70 ans, la flamme de la France Libre, et dont les fils ont versé leur sang pour libérer la France. Il était temps de la reconnaître avec toute la solennité qui convient’, a dit Nicolas Sarkozy. Avant de poursuivre que et de lâcher cette délivrance qui met fin à autant d'injustice : ‘C'est également pour témoigner de notre reconnaissance indéfectible envers les Anciens Combattants originaires de vos pays, que nous souhaitons les voir bénéficier désormais des mêmes prestations de retraite que leurs frères d'armes français. C'est une décision que nous avons prise ce matin en Conseil des ministres. Egalité parfaite’. Ainsi le décret qui va être signé dans ce sens devrait profiter à 30 000 anciens combattants. Les 10 000 sont d'anciens soldats ayant servi sous le drapeau français avant l'indépendance des colonies et 20 000 de leurs héritiers.

Ils verront alors leurs pensions augmentées. Selon les premières estimations, cela reviendra à un peu plus de 150 millions d'euros au budget français pour mettre un terme à l'injustice.

Mais une autre boîte à pandore risque d'être ouverte : c'est le rappel des sommes dues durant les années passées. Le ‘gros lot’, comme diraient les étudiants de l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar.

Article depuis: www.walf.sn

REACTIONS DEPUIS PARIS:

Photo/14 juillet 2010: Défilé du 4ème Bataillon de Saint-Cyr Coëtquidan

Les pensions des vétérans des anciennes colonies françaises vont être alignées

13 juillet 2010 – 15:28

C’est sans doute une décision historique. A l’occasion de la participation de 13 armées africaines au défilé militaire du 14 juillet à Paris, le président Sarkozy a annoncé, ce 13 juillet, l’alignement des pensions de tous les anciens combattants, quels que soient leur nationalité et leur pays de résidence.

« C’est pour témoigner de notre reconnaissance indéfectible envers les anciens combattants originaires de vos pays que nous souhaitons les voir bénéficier désormais des mêmes prestations de retraite que leurs frères d’armes français » a ainsi déclaré le président Sarkozy lors d’un déjeuner avec les dirigeants africains de 13 anciennes colonies françaises.

En tout cas, cela met fin à ce qui était jusque là perçu comme une injustice. En effet, depuis 1959 et le mouvement de décolonisation amorcé par le général de Gaulle, les pensions des anciens combattants citoyens des pays nouvellement indépendants avaient été « cristallisées », c’est à dire qu’elles avaient été gelées par rapport à celles de leurs camarades français.

Cette décision n’avait pas posé de problème au moment où elle fut prise dans la mesure où les dirigeants des anciennes colonies estimèrent que cela allait limiter l’influence de ces vétérans, attachés à la France, dans leurs sociétés respectives en plus d’éviter un trop grand écart de pouvoir d’achat entre eux et les fonctionnaires locaux.

Jusque dans les années 1970, personne ou presque ne s’en était alors offusqué. Mais avec les chocs pétroliers qui provoquèrent de l’inflation, les inégalités de traitement sont vite apparues, en même temps qu’un fort sentiment d’injustice.

En 1985, il avait été question de « décristalliser » ces pensions. Mais devant le coût de cette décision, le gouvernement de l’époque avait fait machine arrière. Il faudra attendre 2006 pour qu’une première brèche soit ouverte, avec un assouplissement de la loi de 1959. Mais cela n’avait pas mis fin pour autant aux inégalités, un vétéran français ayant une pension deux fois plus importantes que celle d’un ancien tirailleur sénégalais (460 euros contre 193 en moyenne).

En mai dernier, le Conseil constitutionnel, saisi selon la nouvelle procédure dite de « question prioritaire de constitutionnalité » (QPC), instaurée avec la révision constitutionnelle de juillet 2008, avait indiqué que, dans un même pays de résidence, il ne devait pas y avoir de différence de pension entre deux anciens combattants de nationalité différente ayant les mêmes droits.

Toutefois, les sages avaient estimé non contraire au principe d’égalité le fait que des pensions soient différentes selon qu’un vétéran habite en France ou à l’étranger.

Concrètement, et selon le secrétaire d’Etat à la Défense et aux Anciens combattants, Hubert Falco, la décision du président Sarkozy d’aligner les pensions devrait profiter à 10.000 vétérans ayant servi la France avant l’indépendance de leur pays et à 20.000 de leurs héritiers, pour un coût évalué à 150 millions d’euros.

Décès du commandant Henry-Jean Loustau

14 juillet 2010 – 21:00

La Fédération nationale des Anciens Combattants résidant hors de France (FACS) a annoncé, le 14 juillet, le décès de son président, le commandant Henry-Jean Loustau, à l’âge de 87 ans.

Né le 4 juillet 1923 à Ville d’Avray, dans les Hauts-de-Seine, Henry-Jean Loustau, alors étudiant à Toulouse, s’engage, après l’invasion de la « zone libre » par les troupes allemandes en novembre 1942 au sein de l’Organisation de Résistance de l’Armée (ORA), créée par le général Frère.

Plus tard, le Bureau central de renseignements et d’actoon (BCRA), le service de renseignement de la France Libre, lui donne pour mission d’organiser les maquis de l’Armée secrète (AS) et les parachutages d’armes. De 1943 à 1944, il prendra la tête de l’un d’entre eux dans la région 5, qui couvre le Limousin, la Dordogne et une partie du Centre.

En octobre 1944, Henry-Jean Loustau est promu officier de réserve. Il prend part aux combats de la poche de Royan et ceux du front de l’Est en 1945.

Après la guerre, il devient sous-lieutenant de l’armée d’active puis il est affecté en Indochine le 28 décembre 1945. Il y gagne ses galons de capitaine cinq ans plus tard. L’officier sera par la suite affecté en Algérie où il commandera un bataillon en 1956, puis de 1959 à 1961. Entre temps, promu commandant, Henry-Jean Loustau a occupé les fonctions de chef de cabinet du Haut-Commissaire de Nouvelle-Calédonie et dépendances.

A l’issue des évènements en Algérie, le commandant Loustau, qui n’a pas accepté l’évolution voulue par le gouvernement français de l’époque, quitte l’armée et choisit l’exil volontaire. Ainsi, de 1962 à 1968, il est expatrié au Brésil, où il travaille en qualité de cadre supérieur pour Saint-Gobain.

Revenu en France en 1981, après avoir passé le reste de sa vie professionnelle en Espagne et au Portugal, le commandant Loustau a occupeé la présidence de l’Union nationale des parachutistes (UNP) de 1986 à 1990.

Grand Officier de la Légion d’Honneur et Grand-Croix de l’Ordre national du Mérite, le commandant Loustau, blessé à quatre reprises au combat, était titulaire de la Croix de guerre 1939-1945 avec 5 citations, de la Croix de guerre des Théâtre des opérations extérieures (TOE), avec 10 citations, de la Croix de la Valeur militaire avec 2 citations ainsi que de nombreux autres décorations étrangères.

Par ailleurs, le commandant Loustau a écrit quatre livres au sujet de ses expériences militaires : « Derniers combats d’Indochine », « Guerre en Kabylie », « Les deux bataillons » et « Flashs de guerre ».

Addendum : Les obsèques du commandant Loustau auront lieu le 16 juillet, à 15.30, à l’église de Rouffignac-Saint-Cernin de Reilhac (24). L’Union des Français de l’Etranger prévoit une messe aux Invalides en sa mémoire en septembre prochain.

Article depuis: www.opex360.com/

Le Commandant Henry-Jean LOUSTAU

Originaire du Sud-Ouest, Henry-Jean LOUSTAU est étudiant à Toulouse lorsqu’il rejoint la Résistance en 1942. Tour à tour agent d’un réseau, puis dès 1943chef de maquis de l’Armée secrète en région 5, il a terminé la Seconde Guerre mondiale plusieurs fois cité et a été décoré de la médaille de la Résistance.

Volontaire par la suite pour servir en Extrême-Orient, Henry-Jean LOUSTAU est en 1945 affecté à Madagascar, puis à Colombo où sont regroupées les forces françaises. Après la capitulation du Japon, il sert en Indochine où il combattra sans discontinuer de 1945 à 1954. Sous-lieutenant en 1945, lieutenant en 1947, il sera par la suite promu capitaine à titre exceptionnel en 1950. Rapatrié après l’armistice, il servira dans deux cabinets ministériels puis en Algérie à l’époque des «rappelés».

Promu commandant en 1957, l’un des plus jeunes de l’armée française, il sera désigné ensuite pour occuper les fonctions  de chef de cabinet militaire du Haut-commissaire dans l’océan Pacifique, gouverneur de la Nouvelle Calédonie et dépendances. De retour en Algérie, Henry-Jean LOUSTAU se dépensera sans compter à la tête d’un bataillon opérationnel pour faire triompher la «solution la plus française» selon les directives de ses chefs. Cet engagement le conduira à la révolte, à la condamnation et à l’exil volontaire durant vingt ans au cours desquels il travailla comme cadre supérieur pour Saint-Gobain au Brésil, de 1962 à 1968, puis en Espagne et au Portugal, de 1968 à 1981.

Commandeur de la Légion d’honneur en 1958, à trente cinq ans, titulaire de vingt-deux titres de guerre, dont dix-sept citations, quatre fois blessé, titulaire de dix autres décorations françaises et étrangères dont les croix de guerre vietnamienne et cambodgienne, Henry-Jean LOUSTAU, aujourd’hui dignitaire de la Légion d’honneur comme Grand-Officier ainsi que de l’Ordre national du Mérite comme Grand-Croix, figura en son temps parmi les officiers les plus remarqués de l’armée française.

Vice président sous la présidence du colonel ROMAIN-DESFOSSES, le commandant LOUSTAU lui succède, de 1986 à 1990, à la tête de l’Union Nationale des Parachutistes (UNP).

Sos son mandat quelques innovations sont réalisées :

1.      Les statuts sont revus. En particulier, le Président national est élu pour 3 ans avec limite d’âge fixée à 73 ans ;

2.      Le Règlement intérieur est mis à jour en conséquence ;

3.      Le siège de l’UNP est transféré de la rue Saint-Joseph à la rue de l’abbé Groult (Paris 15ème) ;

4.      Un Comité d’Honneur composé de chefs historiques et de parachutistes de renom et de tous grades est créé ;

5.      Création de l’Union Européenne des Parachutistes (UEP), le 25 novembre 1989 ;

6.      Un prix littéraire «André ZIRNHELD» est créé au bénéfice d’un auteur parachutiste ayant contribué à faire connaître l’épopée para ;

7.      Une association des sports aériens est créée ;

8.      Un voyage à CAMERONE (Mexique) est organisé dans le cadre de «Paratours», destiné à organiser des voyages au profit de l’UNP.

Henry-Jean LOUSTAU a écrit 4 ouvrages : «Derniers combats d’Indochine», «Guerre en Kabylie», «Les deux bataillons», aux éditions Albin Michel et «Flashs de guerre» aux éditions Publisud.

Aujourd’hui, le commandant LOUSTAU est Président de la Fédération des anciens combattants résidant hors de France (FACS Nationale) et siège au Conseil Supérieur des Français de l’Etranger comme membre désigné par le gouvernement.

ETATS de SERVICE

Né le 4 juillet 1923 à Ville d’Avray (Hauts-de-Seine), mort ce 14 juillet 2010.

il entre dans la Résistance en novembre 1942 au titre de l’ORA (Organisme de Résistance de l’Armée).

Il est chargé par le B.C.R.A. d’organiser des maquis de l’armée secrète et les parachutages d’armes. Chef d’un maquis armé de l’A.S. en région 5 de 1943 à 1944. Création de la Brigade RAC future 50ème RI.

Certificat d’appartenance au F.F.I. (Forces Françaises de l’Intérieur) n° 43 733 du 22 juillet 1950 délivré par la 4ème R.M. (Région Militaire).

Aspirant de réserve jusqu’au 1/10/1944, puis Sous-lieutenant de réserve.

Opérations sur le Front de l’Atlantique (poche de Royan) et sur le Front de l’Est en 1945.

Nommé Sous-lieutenant d’active le 1er juin 1945, il est désigné pour servir en Extrême-Orient et débarqué en Indochine le 28 décembre 1945.

En Indochine du 28/12/1945 au 24/12/1954 a servi successivement au I.B.M.E.O., 11/I.R.M.C./B.C.C., 1er B.M.I.-G.C.M.A.-4ème B.C.C.- 5B.P.V.N.

Nommé lieutenant le 1/6/1947, capitaine le 30/6/1950, commandant le 31/12/1957.

Commandant d’un bataillon en Algérie en 1956.

Chef de cabinet du Haut-Commissaire de Nouvelle Calédonie et dépendances en 1957-1958.

Commandant d’un bataillon en Algérie de 1959 à 1961. Quitte l’armée en 1961.

Titulaire de

La Légion d’honneur – Dignité de Grand-Officier

Ordre National du Mérite - Dignité de Grand-Croix

La Croix de guerre 39-45 (5 citations)

La Croix de guerre des T.O.E. (10 citations)

La Valeur Militaire (2 citations)

La Médaille de la Résistance

La Croix du Combattant Volontaire avec agrafe 39-45

4 blessures de guerre

Breveté parachutiste en Indochine

Breveté commando

Diplômé Militaire Supérieur.

voir page: www.unp74.org

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